[Ess'Narlis][La campagne à l'ouest de la forêt d'Athel Loren]

Je la garde en réserve, et je sors de l'hospice.

Le seul problème est que la faim te tenaille : tu n'as rien mangé depuis hier midi.

Je dévore donc cette miche de pain, et je bois plusieurs rasades d'eau à la première fontaine que je trouve.

Tu es donc rassasié. Mais que fais-tu ensuite ?

Je retourne à l'endroit où j'ai perdu ma bourse, et je cherche la personne qui me l'a volée dans le quartier.

Tu effectues un jet d'orientation pour retrouver cet endroit.

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'Dé à 20 faces' : 4

Ben, ça va être dur... Que fais-tu ?

Je demande à la première personne venue où je peux trouver ce lieu.

Il s'agit que la première personne venue est un marchand gros, gras, et surtout pressé, qui te bouscule alors que tu allais lui poser ta question.

Je demande alors à la seconde personne venue...

La seconde personne venue est beaucoup plus posée, et s'accorde quelques minutes pour répondre à ta question. Tu effectues un jet de compréhension, car ses explications ne sont pas simples.

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'Dé à 20 faces' : 19

Tu comprends sans problèmes les indications de ce brave homme, et tu te rends gaiement au lieu de ta chute.

Une fois arrivé, je cherche dans le quartier la personne qui m'a attaquée, en demandant si les gens ont vu quelqu'un de blessé, ou si les gens savent où se cachent les voleurs du coin.

Tu effectues donc un jet de renseignement :

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'Dé à 20 faces' : 16

Après plusieurs demandes, une personne te dit enfin qu'elle a vu quelqu'un de blessé se dirigeant vers une maison, et t'explique comment trouver cette maison.

Je me rends donc devant cette maison, prêt à dégainer mon arme, et je frappe à la porte.

Après plusieurs tentatives infructueuses, quelqu'un finit par t'ouvrir. Il s'agit d'une femme humaine d'environ cinquante ans, qui te demande :
"Que voulez-vous ? "

Je mets mon pied de manière à l'empêcher de fermer la porte, et lui demande :
"Une personne blessée est arrivée ici, hier après midi. Je désire voir cette personne. "

La femme te répond :
"Il n'y a personne d'autre que moi, ici. Allez-vous en. "
Elle tente de fermer la porte, mais ton pied l'en empêche.

Je sors mon arme et j'entre dans la maison, en bousculant la femme.

Tu bouscules donc la femme, qui chute au sol. Elle crie en tombant, et s'assomme alors que sa tête heurte le carrelage.

Je rentre dans cette maison, et j'ouvre violemment les portes, en cherchant quelqu'un.